Décibulles : interview d'un garçon à croquer, Petit Biscuit
13 juillet 2018 à 22h25 - Modifié : 10 mai 2021 à 10h42 par Céline Rinckel
A seulement 18 ans, Petit Biscuit va enflammer le dancefloor à Décibulles ce soir…ou plutôt cette nuit à 23h25.
Dans l’espace lounge des loges, nous avons pu rencontrer ce jeune homme déjà très mature.
Comment tu imagines ton show de ce soir ?
Je le planifie très bien, ça va être cool. C’est champêtre. C’est agréable. Moi j’aime bien en plein air, c’est original, ça change, c’est toujours un lieu différent, c’est pas une boite noire.
L’an passé tu as eu ton bac, comment tu as réussi à conjuguer les études et la musique ?
Je me suis toujours reposé sur mes connaissances au lycée et du coup ça m’a permis de gérer super bien mes deux vies.
Et aujourd’hui il n’y a plus qu’une vie ?
Oui à 100%…à 1 000% même !
Et la suite ?
La suite…j’ai beaucoup de tournées cet été. Je vais en Australie en septembre. Je vais un mois aux Etats-Unis de mi-octobre à mi-novembre. Je suis occupé jusqu’à décembre. Et après je pense prendre un peu de temps pour moi, pour le deuxième album aussi, prendre le temps de faire les choses. Peut-être un an, peut-être un peu moins, un peu plus.
Quand on est artiste, on se recherche perpétuellement. C’est ce qui nous permet d’avoir des projet encore. L’envie de surpasser tout le temps, ça permet d’avoir tout le temps des projets, tout le temps de la motivation, même quand on est fatigué, même quand on est stressé. C’est ça qui est beau dans l’artistique : on se surpasse vraiment. Moi il n’y a pas grand chose extérieur qui me motive, mise-à-part l’énergie que les gens me procurent. Ma motivation elle vient que de moi. Quand je compose je suis dans une sorte de transe.
Décibulles, vendredi 13, samedi 14 et dimanche 15 juillet, à Neuve-Eglise dans la vallée de Villé.
Il reste des billets UNIQUEMENT pour le dimanche.
Ci-dessous des photos du concert à Décibulles de Laurent Khrâm Longvixay