Delphine Wespiser : "Nous sommes tous des animaux"

Publié : 8 avril 2022 à 15h09 - Modifié : 8 avril 2022 à 16h29 par Anne-Sophie Martin

Dephine Wespiser s'affiche en gare de Strasbourg

Crédit : @PETA

En gare de Strasbourg, Delphine Wespiser participe à une campagne avec l'association PETA pour défendre la cause animale.

Une gigantesque affiche est visible en ce moment en gare de Strasbourg, mettant en scène Delphine Wespiser et rappelant que "personne ne veut finir en morceaux dans l’assiette de quelqu’un d’autre". L'ex-Miss France et chroniqueuse n’en est pas à son coup d’essai avec l'association PETA. Déjà engagée aux côtés de l’association contre la captivité des cétacés, la fourrure ou encore contre l'abandon des animaux, elle s’affiche dans une nouvelle campagne dans laquelle, elle incite à se nourrir avec compassion.


 


Dans une vidéo accompagnant l’affiche, elle prend parole pour expliquer son engagement pour la cause animale et pour préciser ce qui l’a amenée à ne plus manger d’animaux. "Mon amour pour la cause animale, c’est depuis toujours", explique-t-elle dans la vidéo. "Le déclic que j’ai eu c’était quand j’ai vu en direct un abattage de porcs et à partir de ce moment-là c’était fini, j’ai décidé de ne plus manger ni tous les lapins que je cachais pour pas qu’on les trouve, ni ce cochon qui n’avait rien demandé, ni tous les autres animaux."


 


"Tout comme les humains, les autres animaux sont capables de ressentir la souffrance et la peur, et ont un intérêt à disposer de leur propre vie. Malgré cela, ils subissent des souffrances innommables dans les élevages où ils sont confinés dans des conditions insupportables et souvent insalubres et dans les abattoirs où ils sont violemment tués – tout ça pour finir dans nos assiettes. Il n’y a aucune manière éthique de tuer un animal pour le profit ou pour des intérêts humains.", déclare l'association PETA dans un communiqué.


 


"Aujourd’hui même en filière ou en label bio, y’a pas un abattage qui se passe bien," précise Delphine Wespiser. "Pour passer de l’animal qui veut vivre, qui a plaisir, qui a des craintes, qui ressent tout, à un steak, forcément il y a le passage du couteau. Et ça, personne ne le souhaite pour sa propre vie !"