"Midi Tennis" jeudi : les petits trucs qui font tourner un tournoi
25 mai 2023 à 15h18 - Modifié : 26 mai 2023 à 15h51 par Sébastien RUFFET
Sébastien a notamment reçu deux sparring partners de joueuses
Crédit : @Capture Facebook Top Music
Un tournoi de tennis, ce sont des joueuses, bien sûr, mais ce sont aussi des juges de ligne, des bénévoles et des sparring partners. Voici, entre autres, ce qu'on vous a proposé ce jeudi dans "Midi Tennis", en direct des Internationaux de Strasbourg.
Chaque jour, c'est le rendez-vous pour tout savoir des Internationaux de Strasbourg : Midi Tennis vous raconte le tournoi et tous ses à-côtés.
Au programme de ce jeudi, Sébastien a ouvert l'émission avec un reportage sur un jeune juge de ligne, révélé par l'association Fête le Mur, et qui peut aujourd'hui rêver d'arbitrer au plus haut niveau. Un beau témoignage qui rappelle que tout est toujours possible !
Dans la Mise au Vert, il a d'abord été question d'une action menée cette année aux IS : des bénévoles proposent de répondre à un questionnaire via un QR Code sur les moyens de transport des visiteurs. Un outil statistique qui doit servir à mieux prendre en compte le bilan carbone du tournoi. Dans la foulée, Jean-François Carpentier, le délégué régional d'Engie est venu aussi poser son regard sur cet impact carbone : "On cherche au quotidien à décarboner l'activité humaine. [...] On a donc travaillé sur l'origine de l'énergie - solaire -, les économies d'énergie, les bornes électriques pour les véhicules. On a aussi réfléchi à ce qu'on pourrait faire sur les déchets, comment les transformer, la méthanisation, les cycles courts..." A l'image de la volonté des organisateurs du tournoi, Engie s'est par ailleurs engagée dans l'aspect sociétal du tournoi en participant à des ateliers sur l'égalité homme-femme entre autres.
La Petite Histoire de Christophe Schnepp des DNA s'est intéressée aux nationalités encore en lice, et notamment les Russes, qui sont encore 3 au stade des quarts de finale. L'occasion de se rappeler de quelques joueuses russes passées par Strasbourg lors d'éditions précédentes.
Elina Svitolina s'est ensuite collée à l'Elsass Challenge, avant de voir Cécile Wolfrom continuer de croire en son avenir de joueuse de tennis.
Pour finir, Clément Bergantz (1/6) et Arthur Nagel (-4/6) sont venus raconter leur rôle de sparring partners. Ils sont à disposition des joueuses pour les échauffements notamment, avec quelques particularités : "On a un groupe WhatsApp où on nous : dit tu dois là de telle heure à telle heure avec telle joueuse", commence Clément. "Il y a des joueuses qui veulent un gaucher, un droitier, si elles sont gagné après un sparring, elles veulent le même...", poursuit Arthur. Clément : "On m'a demandé de jouer plus à plat, avec moins de lift par exemple." Arthur : "Au service, on ne doit pas servir à fond, il faut chercher une zone pour qu'elle puisse travailler le retour. L'autre jour, j'ai servi 150 fois, j'avais un peu mal à l'épaule à la fin." Il faut donc s'adapter à la demande, et ce n'est pas donner à tout le monde ! Sparring partner, ça demande du talent !