"Midi Tennis" avec Henri Leconte, Cécile Wolfrom et un champion du monde !

Midi Tennis, c'est l'émission officielle des Internationaux de Strasbourg, avec l'assurance de passer un bon moment avec des sujets et des invités qui donnent des infos autour du tournoi, sur des thématiques aussi variées que le milieu associatif, l'écologie et bien sûr le sport.

Ce mardi, Sébastien a reçu plusieurs invités : 

- Qui de mieux que la légende Henri Leconte pour lancer une émission ? L'ancien tennisman a donné ses petits coups de coeur de ce début de tournoi : "J'aime bien Magda Linette, son jeu, elle est sympathique sur le terrain... J'aimerais bien aussi que Clara Burel réussisse quelque chose, qu'elle retrouve son meilleur niveau." La Française a en tout cas passé le deuxième tour ce mardi après-midi. Impressionné par la petite alsacienne Sarah Iliev, Henri s'est aussi rappelé ses premiers tournois, notamment à Nice, ou encore son premier Roland-Garros : "J'étais un petit garçon à ce moment-là !" Au coeur d'une organisation impeccable, "extraordinaire", Henri Leconte apprécie "l'évolution du tournoi", et notamment que le public soit désormais plus proche des joueuses, en plaçant les loges en haut des tribunes. Quant à Roland-Garros, le vengeur masqué met une pièce sur Carlos Alcaraz chez les hommes, et imagine un tableau ouvert chez les dames, sauf si Iga Swiatek arrive en forme. 

- Ninon Renck et Marc Kopff ont lancé à Strasbourg la Maison Rose et Rouge, une enseigne qui mêle fleuriste et caviste, et qui a été choisie pour s'occuper de la décoration florale du village des IS. Quelques contraintes à respecter : "Un budget, bien sûr, mais surtout une ambiance. Chaque année, ça change, et cette année, on a voulu donner un style plus champêtre-chic, plus simple, plus élégant, donc il a fallu trouver les bonnes plantes, les bonnes fleurs pour pouvoir coller à ce thème." Les citronniers, c'est la petite touche personnelle, mais qui s'inscrit parfaitement dans le cadre. D'un point de vue éco-responsable, la provenance est scrutée par Ninon. "On fait attention, on connaît nos producteurs." La conception de la boutique s'est aussi faite dans cette optique. "On a fait livrer des bouquets aux joueuses, et l'emballage c'était du papier à base de betterave !" 

- Nathalie Marajo-Guthmuller, déléguée au sport à la CeA, et Jules Ribstein, champion du monde de para-triathlon, sont venus parler de l'accès au sport pour tous, et notamment des personnes en situation de handicap. "Le sport est un prisme très intéressant pour qu'on banalise le handicap, pour qu'on l'oublie." Jules Ribstein a, lui, rappelé que, plus jeune, il n'avait pas été sensibilisé à cette thématique, et qu'aujourd'hui, handicapé après un accident, cela lui paraît évident d'aller au contact des enfants. "Comme toute personne à mobilité réduite, il faut gérer l'appareillage, ça prend du temps, ça fait partie de la performance." La CeA est venue souligner que des athlètes handisports étaient soutenus, et Jules apprécie aussi le fait que la fédération française de triathlon ne fasse aucune différence entre "valides" et handicapés. Une belle interview nécessaire !

En plus des invités, on a pu retrouver la "Petite Histoire" du jour avec Christophe Schnepp qui s'est penché sur les différents directeurs du tournoi ; L'Espace H a proposé son teasing d'une mini-série avec Cécile Wolfrom, la Miss Alsace, que l'on retrouvera jusqu'à la fin de la semaine ; L'Elsass Challenge avec l'Américaine Bernarda Pera qui a dû se coltiner quelques mots sympathiques comme Niedermorschwihr ou Spätzle ; Le petit défi de Marine dans les allées du tournoi pour faire gagner des goodies.